Droits des salariés
Le 22/04/2022
A la une (brève)
[Veille JO] Les textes parus cette semaine : Emploi, fonction publique, protection sociale, santé, Smic
Le 21/04/2022
A la une
Le contenu du jugement condamnant Deliveroo pour travail dissimulé
Le 19 avril, le tribunal correctionnel de Paris a condamné pour travail dissimulé la société Deliveroo France à une amende de 375 000€ et ses deux anciens directeurs généraux à 12 mois de prison avec sursis et 30 000€ d'amende. A l'entreprise qui assure ne faire que mettre en relation clients, fournisseurs et livreurs, les juges répondent que son mode d'organisation, ses consignes et son contrôle étroit de l'activité des livreurs caractérisent bien un travail salarié dissimulé sous le statut d'indépendant.
Le 21/04/2022
A la une
La Cour de cassation admet un licenciement fondé sur la "banalisation des violences à l'égard des femmes"
Dans un arrêt rendu hier, la Cour de cassation estime justifié le licenciement pour faute grave d'un animateur d'un jeu télévisé qui avait tenu des propos banalisant les violences faites aux femmes lors d'une autre émission. Ce licenciement ne porte pas une atteinte excessive à la liberté d'expression du salarié estime la Haute cour.
Le 20/04/2022
A la une (brève)
De nouveaux territoires pour l'expérimentation "territoires zéro chômeur de longue durée"
Le 20/04/2022
A la une (brève)
Protester contre le licenciement d'un collègue n'est pas une revendication professionnelle justifiant le droit de grève
Le 19/04/2022
A la une
[Infographie] Lanceurs d'alerte : les impacts de la loi pour les élus et salariés
La loi du 21 mars 2022 a rénové le statut et la protection des lanceurs d'alerte en France. Si elle n'entre en vigueur que le 1er septembre prochain, certaines de ses mesures impactent directement le rôle du CSE et la protection des salariés. Explications en infographie.
Le 15/04/2022
A la une
Réseaux sociaux : le profil LinkedIn constitue un élément de preuve
La Cour de cassation admet implicitement qu'un extrait du profil LinkedIn d'un salarié licencié sans cause réelle et sérieuse peut être produit par son ex-employeur pour tenter de limiter le montant des dommages et intérêts qu'il doit lui verser.